Archives des actualitésCinéma à la maison

En attendant de voir en grand et ensemble des films, nous sommes heureux de poursuivre ce chemin cinématographique inattendu. Jalonné de propositions spéciales, ce parcours invite des artistes et des partenaires à proposer un film coup de cœur; il est aussi l’occasion de marquer un temps d’arrêt pour redécouvrir des moments forts de cinéma.

Le programme de cette semaine met à l’honneur l’œuvre et la parole du documentariste Maher Abi Samra. Tout d’abord photographe, Maher s’est engagé par l’image au lendemain de la guerre du Liban. Ses films abordent plusieurs thèmes, la vie dans les camps palestiniens (Rond point Chatila, 2004), le militantisme de gauche (Nous étions communistes, 2006) ou encore le travail domestique et la banalisation du racisme (Chacun sa bonne, 2016). Plutôt que de suivre l’actualité, Maher choisit de confronter l’histoire et le présent, de s’approcher de la complexité et des contradictions de la réalité, nous offrant un cinéma politique, audacieux et intimiste.

 

Juste une odeur de Maher Abi Samra

Beyrouth, été 2016. Quatre plans-séquences pour saisir la guerre, les
mouvements des survivants, et l’odeur de ces instants. C’est le film le
plus personnel de son auteur.

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Itinéraire d’un cinéaste, itinéraire du Liban

 

« La fin de la guerre marque la fin de l’image. » Ainsi pense Maher Abi
Samra qui abandonne la photo quand la guerre est terminée.

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La Masterclass de Maher Abi Samra

Invité d’honneur lors des Rencontres Internationales de Cinéma d’Aflam
en 2016, Maher Abi Samra revient sur la fabrique de ses films, il
partage ses réflexions sur l’écriture et la narration dans le film
documentaire.

Pour voir la vidéo, cliquez ici !

 

Bonne séance !