En 1975, Nabiha Lotfy avait entamé le tournage d’un documentaire sur les femmes palestiniennes au travail, dans le camp de Tal Al-Zaatar au Liban. La guerre civile a alors entravé la poursuite de son travail et la réalisatrice a retrouvé Le Caire. De retour, le camp était complètement dévasté et son film devait raconter les atrocités commises contre les réfugiés palestiniens durant le siège et le massacre du camp, le 12 août 1975.
Parce que les racines ne meurent pas de Nabiha Lotfy
1976 / 50′ / Liban / Documentaire / VOSTANG
Pionnières du documentaire arabe
En présence de Mathilde Rouxel
Dimanche 27 mars – 22H I Cinéma le Polygone étoilé
Prix libre